"En réalité, l'époque est révolue ou l'on pouvait croire que les masses de la société étaient capables d'aller de l'avant par leur propre force en obéissant à leur intelligence et à leur compréhension de leur propre position dans la vie. En réalité les masses ont perdu la fonction de former la société. Elles se révèlent totalement malléables, adaptables, inconscientes, capables de s'adapter à tous les régimes, à toutes les abjections. Elles ne sont pas investies d'une mission historique, au XXème siècle, au siècle du char d'assaut et de la radio, cette mission n'existe plus, la masse a été éliminée du processus de formation sociale."
Willi Schlamm - 1935
Rien que l'idée de fonder une nation, c'est déjà d'la lâcheté. Toute volonté de société est d'abord un embryon d'fascisme, un tremblement d'cafard rêveur. La, maintenant, j'éjacule plus. Et toutes les grèves, ces grosses partouses d'impuissant sont autant d'erzats de messe pour tête de con, ces cuvettes de chiotte qu'les plus cyniques s'plaisent à remplir de merde. Ta tête c'est ma pissotière.
Une grosse république de morpions dans la chatte crade à maman-la-france-la-patrie-mon-amour, ça suinte. Les vers démocratiques lui rongent le gras du cul. Les mous du gland, les peigne-chibre baignent et trempent dans la cyprine infecte de son amour éternel : Vae Victis et lèche.
Des rampants comme moi qu'éjacule plus. J'mords pas, j'chie liquide et j'm'en branle. Toutes tes angoisses de crevard, la somme de tes envies merdiques, tes p'tits désirs qui puent la mesquinerie, et ça couinasse-sa-race pour du pouvoir d'achat. Une grosse volière à pigeons tout-gras-tout-déplumés, et ça vient chier sur'l'monde déjà couvert de merde. Et leurs tronches, c'est déjà d'l'incitation à la haine.
Maintenant suce-la ma démocratie saveur moisi-vermine, vilaine p'tite pute, on s'enfile des bulletine-putains on vote et on s'vautre. Donc j'éjacule plus. Ma "semance" j'te la gerbe dans l'globe occulaire, t'en mettre plein la vue avec d'la phrase torchée-triple-épaisseur. Les mots on s'en carre, on décide de les lire et ça mange pas d'pain. Les écrire non plus. La seul vraie liberté mérite une grosse tartine d'indifférence. Pas d'la tolérance.
Une grosse république de morpions dans la chatte crade à maman-la-france-la-patrie-mon-amour, ça suinte. Les vers démocratiques lui rongent le gras du cul. Les mous du gland, les peigne-chibre baignent et trempent dans la cyprine infecte de son amour éternel : Vae Victis et lèche.
Des rampants comme moi qu'éjacule plus. J'mords pas, j'chie liquide et j'm'en branle. Toutes tes angoisses de crevard, la somme de tes envies merdiques, tes p'tits désirs qui puent la mesquinerie, et ça couinasse-sa-race pour du pouvoir d'achat. Une grosse volière à pigeons tout-gras-tout-déplumés, et ça vient chier sur'l'monde déjà couvert de merde. Et leurs tronches, c'est déjà d'l'incitation à la haine.
Maintenant suce-la ma démocratie saveur moisi-vermine, vilaine p'tite pute, on s'enfile des bulletine-putains on vote et on s'vautre. Donc j'éjacule plus. Ma "semance" j'te la gerbe dans l'globe occulaire, t'en mettre plein la vue avec d'la phrase torchée-triple-épaisseur. Les mots on s'en carre, on décide de les lire et ça mange pas d'pain. Les écrire non plus. La seul vraie liberté mérite une grosse tartine d'indifférence. Pas d'la tolérance.
2 commentaires:
Combien de temps encore allons nous accepter dans un silence hystérique , ce mensonge qui nous crève les yeux ?
Nous sommes des enfants gâtés , ébahis par le pouvoir du caddy , quelle connerie !
Aussi longtemps qu'est entretenue l'immobilité et que les perfusions émergent des tas d'ordures.
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